Il est né et a grandi dans le Cantal.
Ils sont nés dans le Puy de dôme et grandissent dans l'Allier.
Tout ça fait que l'on se ballade très souvent en Auvergne. Je me propose de vous faire découvrir de temps en temps les spécialités et les recettes que j'aime.
Il y a quelques temps, à l'occasion de la recette des macarons à la noisette, je vous avais évoqué le macaron de Massiac...
"Authentique massiacois, Bernard Delos est pâtissier depuis la fin des années soixante-dix.
En 1887 lorsqu'il revient à Massiac, il reprends à son compte la création de son maître d'apprentissage, Monsieur Joseph Varenne, qui lui transmit le secret du "Macaron de Massiac" qu'il fabriquait depuis 1932.
Cette spécialité est un des fleurons de la gastronomie du Cantal."
En 1887 lorsqu'il revient à Massiac, il reprends à son compte la création de son maître d'apprentissage, Monsieur Joseph Varenne, qui lui transmit le secret du "Macaron de Massiac" qu'il fabriquait depuis 1932.
Cette spécialité est un des fleurons de la gastronomie du Cantal."
Les macarons de Massiac sont des macarons à la noisettes. Les deux coques sont simplement collées l'une à l'autre (peut-être à l'aide d'un peu miel?)
Alors, séduits?
Pour finir: vous pourrez retrouver toutes les saveurs d'Auvergne dans l'index "mes recettes"
Ils ont l'air délicieux, moi j'habite dans la Loire, donc je ne suis pas loin de ces beaux endroits comme le Cantal, ou même l'Allier.
RépondreSupprimerBises!
Je ne connaissais pas, ça doit être bien bon ..... jamais réussi à faire un macaron correct moi même !!
RépondreSupprimercarole (Haute-Loire)
RépondreSupprimerJ'habites à 25 kms de Massiac et je vous confirmes les macarons sont succulents ;)
je confirme l'excellence goûteuse de ce macaron... j'étais de passage sans connaître cette délicieuse patisserie, je m'en souviens encore, c'était il y a 2 ans déjà !!!!! les gens font la queue, même lorsque la fournée de 16h est là, on passe après les commandes....... j'ai réussi a en récupérer une boîte car je les avais dévoré 2 jours auparavant, en évoquant la réalité, que je ne faisais que passer et repasser.
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